Lors des discussions autour du rapport Liikanen, la Banque de France et la BCE ont clairement exposé leur position en faveur d’un renforcement de la définition et du suivi de la tenue de marché plutôt que son cantonnement, considérant que cette activité était consubstantielle aux activités des banques vis-à-vis des entreprises. Ils ont estimé que les investisseurs n’intervenaient sur le marché primaire que dans la mesure où les perspectives de négociation des titres sur le marché secondaire ...