Si les banquiers font confiance à leurs talents de lobbyistes pour prévenir la parution de tout texte allant trop à l’encontre de leurs intérêts, en revanche, la nouveauté en matière de réglementation que constituent les recommandations de l’ACP fait grincer les dents des assureurs. À tel point qu’une Question prioritaire de constitutionnalité a déjà été déposée devant plusieurs juridictions pour contester aussi bien les pouvoirs d’investigation de l’ACP que son pouvoir de recommandation. Les juristes considèrent en effet que l’ACP outrepasse ses prérogatives. Affaire à suivre…
Soft law
Les recommandations de l’ACP jugées peu recommandables
Créé le
23.06.2011-
Mis à jour le
29.06.2011