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Le traitement prudentiel du risque souverain : une nouvelle boite de Pandore ?

Créé le

31.01.2017

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Mis à jour le

10.02.2017

Que ce soit au travers du pilier 1 du ratio de solvabilité, des règles encadrant les grands risques ou encore des exigences en matière de liquidité, les actifs souverains bénéficient d’un indéniable avantage prudentiel. Mettre en place un régime qui prendrait mieux en compte les risques liés à ces expositions est un exercice délicat qui nécessite du temps et de la prudence.

Le 8 janvier 2017, les gouverneurs de banques centrales et superviseurs bancaires (GHOS) devaient entériner la finalisation des accords de Bâle III (communément appelés « Bâle IV » par l’industrie bancaire), mais leur réunion a été reportée sine die, certains éléments faisant encore l’objet de débats comme le calibrage du nouveau floor en capital devant se substituer à l’actuel floor transitoire Bâle I.

Cependant, une autre réforme, tout aussi épineuse, ...

À retrouver dans la revue
Banque et Stratégie Nº355