Lorsqu'un acte notarié de prêt précise les deux qualités au titre desquelles intervient son signataire, représentant de la société débitrice, d'une part, et caution personnelle de celle-ci, d'autre part, la double qualité de cette intervention ne suffit pas à imposer la nécessité d'une double signature comme condition de validité du cautionnement. -(Cass. com., 8 octobre 2003, n° 1387 FS-P, Époux Lambrix c/Sté Socphipard.)