Si certaines entreprises préfèrent conserver leurs données dans un cloud privé, ces dernières ne sont pas forcément en parfaite sécurité. Et le plus souvent, c’est encore une fois l’erreur humaine qui est en cause. Kroll Ontrack, spécialiste de la récupération de données sous toutes ses formes (des accidents bizarres de disque dur à la gestion des incendies de datacenters), a listé les cinq principales raisons de pertes accidentelles de données :
- 40 % viennent de machines virtuelles supprimées ;
- 30 % de défaillances matérielles ;
- 10 % d’échecs lors de la migration ;
- 10 % de problèmes liés aux
instantanés ;[1] - 10 % d’erreurs diverses.