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Entreprise responsable

Éthique des affaires ou affaire d’éthique

Créé le

18.10.2016

-

Mis à jour le

21.11.2016

Remettre le business au service de la société et des personnes constitue notre principal défi depuis la crise pour reconstruire un autre monde, plus centré sur le long terme et dont l’argent ne sera pas le seul moteur d’intérêt. Cette éthique des affaires s’organisera au-delà de la volonté politique et de la régulation, autour de la responsabilité sociale des entreprises, de la gouvernance qui la définit et l’encadre, mais aussi de l’éducation des générations nouvelles de managers.

Volkswagen, Enron, Parmalat, Siemens, Ahold, Nike, Findus… ou encore Barclays, UBS ou Société Générale ; plus récemment, Apple, Amazon, Engie, etc. Ces entreprises, de pays, de secteurs d’activité et de statuts différents, ont un point commun : des scandales, d’ordres financiers, sociaux, alimentaires ou environnementaux, qui relèvent de pratiques et de comportements non éthiques. De facto, il devient légitime de questionner l’éthique dans les affaires. Doit-on parler d’oxymore ...

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº802bis
RB