Square

En bref…

Créé le

20.10.2021

Facebook rêve de métavers et veut recruter plus de 10 000 ingénieurs en Europe. Pour construire son métavers, version modernisée de Second Life, un monde virtuel où les internautes interagisent en réalité augmentée, pour eux-mêmes ou pour travailler, Facebook se donne les moyens. Le groupe de Mark Zuckerberg a annoncé sur son blog qu’il allait bâtir des équipes pour travailler à sa conception dans le monde entier, en Europe notamment, où, il espère embaucher jusqu'à 10 000 personnes dans les 5 prochaines années.

Jack Dorsey veut démocratiser le minage de bitcoin. Le fondateur de Twitter et de Square se lance dans la course au bitcoin. Square va travailler sur la mise au point de « mini rigs » (des appareils simples à installer et à configurer) pour miner du bitcoin. En ouvrant l'accès d’individus ou d’entreprises au minage de bitcoins, Square accélère sur les cryptomonnaies. Le bitcoin s'échange autour de 60 000 dollars, une progression de 40 % depuis la rentrée.

Wix accepte les paiements en cryptomonnaie. L’éditeur spécialisé dans la création de vitrines professionnelles et de sites marchands Wix autorise la gestion des paiements en sept cryptomonnaies (bitcoin, bitcoin cash, l’Ethereum, dogecoin, litecoin, XRP et wrapped bitcoin) sur ses sites. Cette offre, disponible depuis le 12 octobre, est pour l’instant limitée à l’Allemagne, à l’Australie, au Brésil, aux États-Unis et au Royaume-Uni.

Faut-il payer les rançons demandées par les cybercriminels ? C’est le sujet du dernier rapport du groupe d’études Assurances de l’Assemblée nationale. Pour la députée Valéria Faure-Muntian, qui en est la rapporteuse et est agente d’assurance dans le civil, « il convient de sanctionner les entreprises, administrations ou collectivités qui procèdent au paiement des rançons à l’aide d’un tiers ou de manière directe ». En revanche, elle recommande « l’autorisation de couverture et de prise en charge des amendes administratives par l’assureur », liées par exemple aux manquements au RGPD. Elles sont aujourd’hui inassurables, puisqu’elles visent à « sanctionner un comportement fautif ayant troublé un ordre public ». Dernière conclusion de ce rapport, « il convient d’inscrire dans le code des assurances la subordination de l’activation des garanties de cyberassurance à un dépôt de plainte auprès des services compétents ».

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº861